Les faits remontent à 9 mois quand une touriste mexicaine a été victime d’un viol collectif auquel un algérien de 24 ans aurait participé. Le viol a eu lieu dans la capitale française après que la victime ait passée une nuit festive avec trois amis mexicains une soirée festive dans les rues de la capitale.
C’est neuf après, le 24 du mois en cours, que l’Algérien soupçonné d’être l’un des violeurs de la mexicaines de 27 ans a été arrêté au Champ-de-Mars à Paris. La victime a assuré aux autorités qu’elle a été piégée par un groupe d’inconnus dans la nuit du 26 au 27 juillet 2023. Et le suspect a été interpellé par les enquêteurs du 3e district de police judiciaire de la préfecture de police de Paris.
Selon le Parisien, les enquêteurs disposeraient d’éléments assez solides incriminant le jeune algérien d e24 ans. Il aurait clairement abusé sexuellement de la mexicaine qui en fait un tableau plus ou moins détaillé.
Un viol près de la tour Eiffel
Selon elle, le viol a eu lieu durant la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 juillet 2023, vers 2 h du matin. Elle était avec en train de profiter d’une soirée bien arrosée, quand un inconnu (l’un des agresseurs) lui a proposé une bière, selon ses dires, « très amère ». Cela se serait passe sans que les amis de la touriste mexicaine ne s’en aperçoivent.
Et au lieu d’un quelconque endroit où l’on sert de la bière, la mexicaine dit avoir entrainée par plusieurs hommes dans un buisson… Les premiers policiers qui se sont intervenus ont découvert la victime « en état de choc important » et avec « des hématomes apparus au niveau des deux jambes », rapporte le quotidien parisien.
Après plusieurs mois d’investigation, les enquêteurs du 3e district de police judiciaire de Paris ont réussi à localiser l’un des présumés auteurs du viol survenu au local de rétention administrative (LRA) de Nanterre. Selon des sources, le suspect, de nationalité algérienne, est déjà connu des autorités judiciaires pour des infractions liées aux drogues, aux vols à l’étalage et à l’extorsion. Les recherches se poursuivent dans l’espoir d’identifier les autres personnes soupçonnées d’être impliquées dans ce crime collectif.
